Si vous avez envie de publier ou de lire des tweets, voici comment faire pour automatiser le tout.
Ici, pour l’exemple, je vais montrer un bot qui publie des « fortunes » (via fortunes-fr) toutes les 6 heures.

(Une fortune est un message aléatoire.)

Vous pouvez d’ailleurs suivre le bot : https://twitter.com/fortunes_fr

Prérequis

Le script

À vous de modifier les chemins d’exécution si vous avez utilisé un autre client Twitter que celui que j’utilise ou si vous voulez publier autre chose que des fortunes.

#!/bin/bash
#By M4T
#Prérequis: Setuptool, twitter.py, fortune (non-root)

flag=0
while [ $flag = 0 ]
do

tweet=`/usr/games/fortune fr` #Génération de la fortune - À remplacer par un autre texte ou autre
if [ $(echo "$tweet" | wc -c) -le 140 ]; then #On vérifie la taille de la fortune
    flag=1
fi
done
if [ "$tweet" == "" ]; then
    echo "[FAIL] Nothing to tweet. Enter your text as argument." && exit 1
fi
tweet=$(echo $tweet | sed 's/-+-/+++/g'); #On remplace les caractères qui posent problème

#echo $tweet

/usr/local/bin/twitter set $tweet #On publie le tweet

 Installation

Copiez le script dans un répertoire où vous avez les accès.

Donnez-lui les droits d’exécution :

chmod +x twitter.sh

Exécutez-le manuellement ou bien ajoutez-le aux tâches cron.

Résultat

Si vous souhaitez avoir Twitter dans votre terminal, c’est tout à fait possible.

Il existe une multitude de scripts sur le net qui le font (ils utilisent l’API de Twitter).
Mon préféré est en Python.

L’installation est très simple grâce à Easy_Install:

Il faut tout d’abord installer setuptools (Python):

wget https://bootstrap.pypa.io/ez_setup.py -O - | sudo python

On installe ensuite le « paquet » Twitter:

easy_install twitter

Une fois installé, il faut le lancer une première fois pour s’authentifier:

twitter

C’est la même commande pour consulter les derniers tweets.

Pour poster un tweet, c’est de cette façon:

twitter set votre_tweet

Par exemple:

twitter set Hey Twitter en ligne de commande yeah

 

 

J’ai deux imprimantes chez moi qui ne sont pas réseau, j’ai donc voulu tester de faire un serveur d’impression avec ma Raspberry Pi.

Comme vous allez pouvoir le voir, ce n’est pas sorcier, je m’attendais à bien pire, surtout au niveau des pilotes.

Le schéma est simple, les imprimantes sont connectées en USB sur la Raspberry qui est elle-même connectée au réseau.

IMG_20141023_111026

Pour faire ce test, je vais utiliser Raspbian (Debian pour Raspberry), on commence par lui attribuer une IP, on fait les mises à jour, etc.

Le paquet à installer s’appelle CUPS, donc

apt-get install cups

Il va en profiter pour installer une série de dépendances (notamment les pilotes :D)

Il faut ensuite ajouter notre utilisateur (pi) dans le groupe

sudo adduser pi lpadmin

Nous allons maintenant éditer le fichier de configuration de CUPS pour que l’on puisse administrer via l’interface web (oui car il y a une interface web :p) à distance le service.

sudo nano /etc/cups/cupsd.conf

Il faut modifier la ligne qui contient Listen localhost:631 et mettre à la place

Port 631

Et dans ce même fichier il faut ajouter Allow all entre chaque balise <Location>
Ce qui donne:

<Location />
# Restrict access to the server...
Order allow,deny
Allow all
</Location>
<Location /admin>
# Restrict access to the admin pages...
Order allow,deny
Allow all
</Location>
<Location /admin/conf>
AuthType Default
Require user @SYSTEM
# Restrict access to the configuration files...
Order allow,deny
Allow all
</Location>

On redémarre le service cups

sudo service cups restart

À partir de maintenant on devrait avoir accès à l’interface web depuis http://ip-de-la-raspberry:631

À présent il faut rajouter l’imprimante, il va vous demander un mot de passe et vous devez rentrer les informations de connexion de l’utilisateur pi.

On paramètre ensuite les options par défaut et le tour est joué, on peut maintenant ajouter notre imprimante partagée sur nos clients.

Pour atteindre l’imprimante depuis un client l’adresse est la suivante: http://ip-de-la-raspberry:631/printers/nom-de-l-imprimante

Cela devrait fonctionner plus ou moins de la même manière avec un autre système Linux (en espérant que vos pilotes sont disponibles directement 😀 ).

 

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